« Construire sa maison en une nuit » voilà une rumeur popularisée par les derniers témoins. Bien d’autres croyances entourent ce logement que l’on appelle une bourrine dans le Marais breton-vendéen.
- Pourquoi ce terme bourrine ?
- A quand remonte cette présence architecturale caractéristique du Pays maraîchin ?
Autant de sujets qu’abordera Jean-Pierre Bertrand, de l’association Arexcpo.
Ses travaux remontent aux années 1980 quand il fut nommé directeur de la réalisation de l’écomusée du Daviaud, à La Barre-de-Monts, avec la restauration et la reconstruction des divers bâtiments du site.
Il a également travaillé sur la restauration de la bourrine de l’écomusée du Bois Juquaud, à Saint-Hilaire-de-Riez.
Une exposition en 1983 et deux ouvrages sur l’architecture traditionnelle en terre crue suivront.
Ses travaux remontent aux années 1980 quand il fut nommé directeur de la réalisation de l’écomusée du Daviaud, à La Barre-de-Monts, avec la restauration et la reconstruction des divers bâtiments du site.
Il a également travaillé sur la restauration de la bourrine de l’écomusée du Bois Juquaud, à Saint-Hilaire-de-Riez.
Une exposition en 1983 et deux ouvrages sur l’architecture traditionnelle en terre crue suivront.
L’intervenant
JEAN-PIERRE BERTRAND
Jean-Pierre Bertrand s’est engagé il y a plus de cinquante ans dans la recherche, l’étude et la valorisation du patrimoine culturel immatériel vendéen. Il est à l’origine de la fondation d’Arexcpo, de Vendée Patrimoine et de l’OPCI. Il est l’auteur d’une quarantaine d’ouvrages à caractère ethnologique. Ses deux plus gros chantiers sont la mise en œuvre de l’Écomusée du Daviaud et du village XVIlle du Puy du Fou. On peut le voir chaque semaine partager l’écran de TV Vendée avec l’émission « Comme toujours ».
